Commissaire-priseur de renom, Marc-Arthur Kohn est un incollable en matière de marché d’art. Au cours de ces 40 dernières années, il a su redonner vie au Made in France en l’important à l’international tout au long de son métier de commissaire-priseur judiciaire. Il a été au service des amateurs d’art mais aussi des professionnels qui souhaitent acquérir de nouveaux œuvres d’art pour enrichir leur collection.
Ayant ouvert sa maison de vente aux enchères à Paris, juste au cœur du Triangle d’Or parisien, marc-arthur kohn a su se démarquer de ses paires. Cet emplacement lui a valut son renom, et pas que cela, mais aussi son savoir-faire et sa passion pour l’art. Deux choses qui lui ont permis d’expertiser et de mettre à la vue de tous les objets d’art les plus célèbres durant ses années d’exercices.
La passion pour l’art, là où tout à commencer
Un parisien dans l’âme et anversoise d’origine, marc-arthur kohn a été tombé dans l’univers artistique depuis sa tendre enfance. En effet, cette passion pour l’art, il l’a hérité de sa mère, qui était une experte dans la vente d’objets d’art moderne. C’était sa mère qui lui a initié à cette passion et cet amour pour les œuvres d’art, et c’était à ce moment que l’aventure à commencer jusqu’à ce jour. Après un cursus scolaire normal, ce commissaire-priseur avant-gardiste a rejoint l’Ecole du Louvre, là où il s’est initié au métier de spécialiste de patrimoine culturel et des histoires de l’art au cours de ces derniers siècles. Même s’il avait un destin tout tracé pour intégrer le métier de conservateur de musée, il a une toute autre voie, la vente des objets d’art, ce qui se révèle être le retour à la source.
Le métier de commissaire-priseur, une aventure au bout des doigts
Si Marc-Arthur Kohn est arrivé à ce poste, c’est tout simplement parce qu’il a fait la rencontre d’un commissaire-priseur lui proposant de travaillant avec lui, et cela lorsqu’il préparait sa thèse au sein de l’Ecole de Louvre. Au tout début, il était réticent à cette idée, mais au final il a accepté la proposition tout en renonçant au métier de conservateur de musée. Cependant, avant de devenir commissaire-priseur, il a encore suivit des cours sur les peintres à Lyon, et c’est à ce moment qu’on enregistre un envol de sa carrière.
Avant de s’installer à Paris, il a déjà travaillé dans de nombreuses contrés en tant qu’administrateur provisoire de l’étude de commissaire-priseur avant de remporter un concours lui ouvrant la porte à ce métier prestigieux. Avec une expérience de plus de 40 ans, cet homme est devenu l’un des commissaires-priseurs le plus connu de France. Il préside aussi bien des ventes aux enchères publiques que des ventes privées à Paris et les environs. Sa réputation n’est plus à faire aussi bien sur la scène nationale qu’internationale, et cela après avoir exporté la tendance Made in France dans le milieu artistique. C’est à lui qu’on doit la découverte et la cessation de nombreux œuvres d’art les plus réputés au monde, que ce soit des tableaux ou d’autres objets d’art.